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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 10:55

Le dimanche matin, chez moi, c'est souvent le jour du cinéma (quand je n'ai pas fait la fête jusqu'à l'aube s'entend!).

Ce dimanche, je suis allée voir Intouchables.

 

affiche-du-film-intouchables

 

Alors oui, je sais, tout le monde en parle, tout le monde est fan. De manière générale, quand tout le monde en parle et adore, je vais à contre-courant et n'aime pas (pas autant que la plupart des gens, disons). Je me passerai par exemple de commentaires sur Bienvenue chez les Chtis ou, pire, sur Avatar. Parce que je vous aime un peu bien et que je ne voudrais pas qu'on se fâche.

 

Revenons à Intouchables, donc. L'un des rares films au sujet desquels je me rallie à la majorité du public français pour dire que, ben, c'est bien!

 

L'histoire, inspirée d'une histoire vraie (je suis un peu curieuse de savoir dans quelle mesure, mais c'est un autre problème...): un paraplégique bourgeois engage un jeune chômeur de banlieue, pointé à l'entretien d'embauche un peu par hasard et tout juste sorti de prison, comme aide à domicile, malgré son absence totale de formation et d'expérience en la matière. 

Malgré l'incompréhension (et, disons-le, les préjugés sociaux et probablement raciaux) de l'entourage de Philippe le paraplégique, les deux hommes s'entendent bien, se lient d'amitié et font se confronter et cohabiter leurs univers différents (si ce n'est opposés), entre vannes et poésie, sexe et romantisme, musique funk et concert classique... C'est finalement, pour l'un comme pour l'autre, un nouveau souffle et le début d'une nouvelle vie.

 

Comme bien souvent, le fait que le film soit inspiré d'une histoire vraie lui confère un charme plus important. Mais au-delà de la simple histoire d'amitié inattendue, sympathique au demeurant, le film est une vraie comédie.
Pas de misérabilisme, ni sur la condition de handicapé, ni sur la vie des cités, tout en ne rejetant pas leur réalité.

Il y a une dimension sociale, pour sûr. Mais c'est loin d'être le propos central du film. 

 

On sourit, on rit même parfois. On s'émeut un peu. On trouve que c'est une belle histoire, que c'est un film réussi, et qu'on a passé un bon moment. Et que Cluzet, sans surprise, est bon, mais Omar Sy, avec peut-être un peu plus de surprise de certains, l'est aussi! (moi, de toute façon, je l'aime plutôt bien, alors!)

 

Je crains que les médias n'en fassent encore tout un battage qui gâchera un peu la qualité du film (c'est déjà un peu le cas...), ou qui en fera un chef-d'oeuvre qu'il n'est pas (tout de même!!), un peu comme pour Avatar et Bienvenue chez les Chtis

 

Mais si vous avez le temps et l'envie d'aller au cinéma, si la séance que vous visez n'est pas complète (parce que oui, même un dimanche matin à 10h, la salle était pleine à ras-bord), profitez de cette comédie intelligente, rafraîchissante, et drôle.

 

Et pour rigoler un peu plus, avec du bon politiquement incorrect:

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 17:33

Par moments, je me demande s'il pense parfois à moi...

 

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 12:12

Bon... La réponse ne venant toujours pas, je crois que nous pouvons relâcher la tension dans nos doigts et faire le deuil de ce joli petit espoir de quitter la région parisienne de sitôt!

 

C'est reparti! Recherche d'annonces (inexistantes), candidatures spontanées (= intermittence, et ça, ça me botte pas des masses), rendez-vous à Pôle emploi, rendez-vous à la Caf (non, Farfelune, pas avec une assistante sociale!). Ô joie!

 

J'aurais vraiment bien aimé que ça marche, avoir un vrai travail, un vrai contrat. Et ne pas avoir à continuer à vivre chez papa-maman (parce que non, une intermittente qui n'a même pas encore ouvert ses droits d'intermittente ne trouve pas d'appartement, non!), à chercher du travail qui n'existe visiblement pas...

 

C'est peut-être la saison (elle a bon dos, cette saison), c'est peut-être Noël approchant (lui aussi il a bon dos), c'est peut-être ma situation socio-professionnelle justement (non, elle, elle n'a pas bon dos!), c'est peut-être ma situation financière. Enfin bref, c'est peut-être un million de choses. Mais une petite déprime guette, ces jours-ci.

 

Et les copains, probablement pleins de bonnes intentions, qui cherchent à me trouver une petite déprime, ça n'aide pas non plus. "T'es sure, ça va? T'as une petite mine. Tu déprimes, hein, c'est ça?" "Nan mais déprime pas, elle est pas pourrie ta vie "(nan mais mec, quand je disais "ma vie elle est pourrie", c'était de l'ironie en réponse à ta vanne!)... 

 

C'est vrai que là, j'ai l'impression de pas voir le bout. C'est aussi vrai que ça ne fait pas très longtemps que je cherche du travail. Mais ça me semble bien compliqué tout ça. Je trouve que c'est pas juste qu'il y ait des secteurs qui embauchent si peu, si mal et qui ne permettent pas de vivre normalement décemment, ni même d'avoir une petit appart (sans parler des salaires qui ne sont évidemment pas à la hauteur des loyers de Paris, ni surtout des exigences des agences /proprio de cette-si-jolie-ville-que-tout-le-monde-nous-envie-bien-que-ça-me-dépasse)

 

M'enfin, il faut que je me secoue! (Vous pouvez, là, tout de suite, m'imaginer me secouer littéralement, assise sur mon lit. - Image absolument pas absurde!)

 

Aide-toi le ciel t'aidera, il paraît. (Le ciel aussi il a bon dos, non?)

On va voir le bon côté des choses (euh... euh... Le soleil brille aujourd'hui... Euh... Ma maman me prépare des bons petits plats, mais ça me fait prendre du poids. Euh, non, on zappe cette dernière partie, on se concentre sur les bons petits plats...). On va se reprendre en main, on va se bouger le fion. On va trouver un putain-de-job-qui-tue-sa-race-de-sa-mère (passez-moi l'expression) et on va s'éclater! C'est décidé, c'est fait!

 

On va pas non plus se laisser abattre, non!

 

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(et pis aussi, un jour, promis, j'arrêterai de me plaindre. Mais ça risque de quand même pas être demain la veille, hein, ne vous leurrez pas!)

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 12:07

Ciel! Déjà cinq jour depuis mon dernier article! Dieu que le temps passe vite (que d'apostrophes vers le "Tout-Puissant", dis donc!)

 

J'entends déjà la foule de mes lecteurs en délire, réclamant un nouvel article, parlant de moi, moi, moi et ma petite personne, tous prêts à me lyncher si je les déçois!! (comment ça, mes quelques six lecteurs se fichent bien de ce que je fais de ma vie?! Faux! Sinon, ils ne me liraient pas! Ahahah!)

 

Bref... Il paraît qu'il faut entretenir son blog. Bien. Je vais donc m'y employer. 

Mais pour être tout à fait franche, il ne se passe pas moultes choses dans ma vie en ce moment. Et je ne vois pas grand-chose du monde extérieur non plus. 

C'est bien dommage. Parce que je suis sûre que si ma vie est un peu entre parenthèses cette dernière semaine, ce n'est pas du tout le cas de celle des autres...

 

M'enfin, moi, je suis toujours en attente d'une réponse, qui va décider de mon avenir (maintenant très proche), de si je dois déménager vite fait (bien fait, forcément?), si je dois partir à l'autre bout du pays (plus ou moins), de si je dois quitter pour de bon la maison familiale, tout ça, quoi!

 

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(Non, cette photo n'a rien à voir!!)

 

C'est normal d'avoir un peu peur de la vie?

C'est normal de chercher du boulot, de chercher à se lancer dans la vraie vie active, avec salaires, loyers, factures, plein de frais, alors qu'on a encore tellement l'impression d'être une adolescente?

 

J'vous jure, j'ai encore 17 ans. Je suis au lycée. J'ai peur de ne pas avoir mon bac. Et même l'idée d'aller à la fac, sortie de mon internat, dans la "Grande Ville" me terrorise un peu.

 

J'vous assure, tout ça, j'ai l'impression que c'était hier! Et avant-hier, je naissais tant bien que mal (c'est qu'on m'a un peu mise dehors du ventre de ma maman, alors bon, déjà, ça commençait mal, tout ça!)

 

Peut-être qu'au fond, on ne se sent jamais tout à fait prêt à se lancer sans filet. Ou peut-être que c'est juste moi.

Mais ne vous méprenez pas! J'ai hâte! 

J'ai hâte d'être une grande personne! D'avoir mon chez moi, d'avoir mes factures, mais d'avoir mon salaire pour les payer! 

J'ai hâte d'avoir un boulot. 

J'ai hâte de grandir (mais pas trop!).

Mais je suis une trouillarde, c'est comme ça, c'est un fait!

 

Bon aller, la réponse devrait arriver aujourd'hui ou demain.

Un retour à la case départ, ou un départ sans retour! 

Gniark gniark gniark!

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12 novembre 2011 6 12 /11 /novembre /2011 16:08

Entretien passé. Plutôt bien, je crois.

En attente de réponse.

Ils ont beaucoup parlé. Moi pas.

Mais je crois que c'est dans le bon sens. Ils m'ont plutôt présenté le poste et les différentes missions que réellement testée sur mes compétences ou motivation.

Et une petite phrase en fin d'entretien me laisse bon espoir.

Réponse courant de la semaine prochaine.

Je ne voudrais pas abuser de votre bonne volonté et tout ça, mais si vos doigts vous démangent jusque là, vous pouvez éventuellement encore les croiser, si vous voulez!

Advienne que pourra.

Je m'y vois déjà un peu. Mais ça, c'est pas toujours très bon signe.

Et en même temps, ça me fait peur. Et ça, je crois que c'est plutôt bon signe!

 

Sinon, encore raclette et tartiflette ce week-end.

A coup de 10 kilos par week-end comme ça, je ne vais plus passer les portes de ma maison, moi, cet hiver! 

Départ imminent en week-end, en famille.

Projet de départ en week-end avec les copains la semaine prochaine (précisément dans la ville où j'aurais peut-être - je touche du bois, pour reposer mes doigts - un travail!)

Je reviendrai. Je raconterai encore un peu ma vie. Mon peut-être futur plus ou moins proche.

 

Bon week-end à vous!

 

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10 novembre 2011 4 10 /11 /novembre /2011 11:51

Pour vous, j'ai testé: Bérénice* à la Comédie Française.

 

Bon, je suis une grande adepte du théâtre. Je suis un peu une adepte de la Comédie Française, parce que pour moi elle reste la "maison de Molière" et elle perpétue le joli théâtre classique (pas que, hein! J'ai vu des pièces espagnoles complètement dingues aussi, à une époque!).

 

Mais alors pour le coup, là, c'est pas cette mise en scène qui va la sortir de son image-carcan de vieille dame du classicisme théâtral français...

 

Pour vous dire, en fait, tous les comédiens ont les cheveux blancs! Je n'ai rien, personnellement, contre les gens aux cheveux blancs, hein. Ni même contre les vieux de manière générale (qu'ils aient les cheveux poivre et sel, gris ou pas de cheveux du tout)

 

Seulement, à mon avis, ce cher monsieur Racine, quand il écrivait sa pièce, il voyait plutôt de fringants jeunes hommes faisant avec fougue la cour à une belle jeune demoiselle éplorée. (Bah oui, ça reste une tragédie. Même s'ils sont tous beaux et bien gentils, ils pleurent tous quand même!)

 

Alors bon, Bérénice en maison de retraite (j'exagère quand même un peu, pour donner plus de poids à mon propos. Ce n'était quand même pas de vieux croulants!), c'était un peu bof. Ca manquait de patate, quoi. De passion! Par moment, j'avais un peu envie de les secouer, tous ces petits comédiens, sympathiques au demeurant. 

 

Une était un peu un cliché de la comédienne tragique, avec ses gestes ultra outrés, ses mains sur le visage, sur le front "Ô Ciel! Que vais-je devenir?" (ceci n'est pas une citation de Racine, comme vous vous en doutez!)

 

Un autre martelait ses répliques, parfois d'un air parodique (que je pense involontaire).

 

Un autre manquait cruellement de dynamisme et les fins de ses phrases se perdaient parfois dans l'immensité inouïe (dans les deux sens du terme!) d'une salle de théâtre pourtant pas si immense. Il devait y avoir un trou noir sonore, quelque part...

 

Bon, bref, l'interprétation n'était vraiment pas génialissime.

La mise en scène non plus, remarquez. Ultra dénudée, mais je suppose que c'est un choix de la metteur en scène (non, je ne dirai pas metteuse en scène. Je ne le dirai pas, je ne le dirai pas!). Peut-être même comme son "casting" d'anciens. Mais j'ai eu beau chercher, dans sa "note d'intention" elle nous racontait l'histoire de Bérénice et pas ce qu'elle pensait dire par sa mise en scène.

 

Donc tout ceci restera un mystère. Mais en tous cas, la mise en scène ne m'a pas permis d'entrer davantage dans la pièce (à part une toile de fond qui se déplaçait sur son cintre à trois moments de la pièce, et quelques vagues jeux de lumière à peine perceptibles, il ne se passait pas grand chose...).

 

En définitive, pour le côté plaisant, heureusement que le texte est de Racine!


Cintres-cordes

 

* Jusqu'au 27 Novembre. Mise en scène de Muriel Mayette (administratrice générale de la Comédie Française)

(Sinon, Tchoupi passe toujours au Casino de Paris!)

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9 novembre 2011 3 09 /11 /novembre /2011 10:23

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Il paraît que certaines choses ne sont plus de mon âge. Mais qu’est-ce qui est de mon âge ??

 

‘Faut pas croire, j’aime bien Paris, mais quand ce sont les autres qui y habitent !

 

Quand j’étais petite, je me disais qu’à 20 ans, je serais grande, je serais adulte, j’aurais compris tout ça (« le sens de la vie », diraient les Monty Python). Que nenni ! J’ai 25 ans, et n’en sait pas plus sur le mode de fonctionnement du monde qui m’entoure. Ou peut-être que c’est pareil pour tout le monde ?

 

Débile, je le sais depuis un bout de temps. Je ne pensais juste pas être une imbécile méchante. J’aurais plutôt souhaité être une imbécile heureuse !

 

Quand vous n’aurez plus de question, vous serez non seulement sans réponse, mais vous serez aussi sans espoir.

 

Pourquoi est-ce que l'imaginaire populaire situe le siège de l'amour dans le coeur? C'est quand même une drôle d'idée. Et pourquoi pas dans le foie, ou la rate, ou juste le cerveau... (sûr que c'est moins mignon à dessiner, une rate ou un cerveau...)

 

Il y a des mots que l'on devrait s'employer à utiliser plus souvent. Je pense notamment à guincher et à bath, mais la liste pourrait être longue.

 

Dans un peu moins d'un mois c'est la Saint Nicolas. La Saint Nicolas, j'aime bien! Dans un peu plus d'un mois, c'est Noël. Noël, j'aime moins. 

 

Heureusement qu'il y a Dexter. Et ça c’est un vrai mec qu’on aime retrouver après de longs mois d’absence.
Comment ça c’est un psychopathe et une affection pour lui traduit un dangereux penchant sociopathe ?? D’abord, il ne tue que les méchants ! Alors c’est un gentil !  Et toc !

 

Sinon, mon blog rank est en grève, depuis mon retour de vacances. Je fais pourtant des articles, j'ai des visites, j'ai des commentaires. Mais rien n'y fait, il n'a plus bougé... Mais au fond, franchement, c'est pas dramatique!

 

Et, au risque de me répéter et de devenir rapidement relou, on garde toujours les doigts croisés, je vous prie. Allez, il ne reste que trois jours!

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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 11:23

Il y a des soleils qui n’en finissent pas de briller, et des automnes qui n’en finissent pas de se rebeller et de prendre des airs d’été.

Il y a des guitares aux cordes cassées, qui attendent d’être réparées, accordées et titillées.

Des feuilles, qui rougissent de la saison, qui tombent de leur branche et colorent le sol.

Il y a la pluie, qui menace toujours par chez moi. Cette pluie qui, quand elle est là, rend tout gris et un peu triste, même les plus beaux sourires.

Il y a lui, loin, tout au loin, qui m'oublie encore un peu plus.

Il y a moi, bien sûr. Derrière ma casquette, à regarder les gens et le temps passer.

Il y a cette vie, et cette planète, qui attendent d’être (re)découvertes, et d’être aimées, et d’être belles et préservées.

Il y a les histoires de chacun, plus ou moins bien écrites, plus ou moins dissimulées sous les chapes de secret.

Ces mains ridées qui se tendent vers ces mains de bébés, des éclats de rires, des airs d’accordéon dont on ne sait trop identifier la source.

 

Green-Park.JPG 

 

Finalement, j’aime bien les couleurs de l’automne. Même si les feuilles ont l’air d’avoir attrapé la jaunisse, même si le soleil est un peu pâle et même si les nuages pleurent beaucoup.

Finalement, à bien y regarder, c’est plutôt joli. Et c’est quand même plus chaleureux, ces rouges, jaunes, marrons, que le gris et blanc de l’hiver froid, gelé et enneigé ! 

(et que les déco de Noël qui me rendent les rues sinistres et tristes... même si c'est l'effet inverse qui est recherché!)

 

 

 

Et on croise fort-fort-fort les doigts jusqu'à vendredi soir, s'il vous plaît!!

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7 novembre 2011 1 07 /11 /novembre /2011 11:42

Quelle probabilité de croiser quelqu'un qu'on connaît, sur la ligne 6 du métro parisien, un dimanche matin??

Elle ne doit pas être bien élevée. Et pourtant... Ca arrive! 

Et c'est drôle!

 

Pas grand chose de neuf, en fait.

Ce week-end, j'ai fait de la peinture avec des copines.

J'ai mangé de la raclette et de la choucroute.

J'ai rédigé une lettre de motivation pour un boulot qui ne correspond pas à ma formation (dur!).

J'ai mangé du gâteau d'anniversaire.

J'ai dû prendre approximativement 10 kilos, avec tout ça!

J'ai vu une expo, pas top.

J'ai vu un film, pas bien.

J'ai vu mes copines, bien!

J'ai fraudé le bus, deux fois, très mal! 

J'ai goûté une bière Rince cochon, et une bière La bouffone. C'était un peu bon, et un peu drôle.

J'ai eu envie de le voir. 

J'ai eu la flemme de faire le ménage.

Bref, j'ai mené ma petite vie.

 

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A part ça, nouvel épisode de croisage de doigts. Mais chuuut, il ne faut pas trop en dire, ça porte la poisse!

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4 novembre 2011 5 04 /11 /novembre /2011 13:39

Quand il ferme les yeux, le monde s’arrête.

Il fait noir. Il ne voit plus rien, plus personne. Le monde n’existe plus. Il arrête de tourner, il arrête d’exister. Le néant.

Et lui, est-il encore là ? Est-il le témoin de ce néant ? Ou est-il lui aussi perdu dans le vide?

 

Il cligne des yeux et le monde bégaye.

Ses clignements d’yeux sont comme le stroboscope du monde.

 

Et quand il pleure, c’est le déluge. Le monde s’inonde. Les mers débordent. L’eau salée de ses larmes envahit la planète.

 

Ses paupières sont un peu l’interrupteur du monde. Qu’il les ferme et plus rien n’existe.

 

Quand il ferme les yeux, le monde s’arrête. Est-ce qu’il doit les garder ouverts ??

 

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Présentation

  • : Chapeau melon et bottes de cuir
  • : "A journey of a thousand miles begins with a single step" (non, aucun rapport avec la choucroute) En plus d'un peu bloggeuse, je suis assistante de production. Projets en spectacle vivant, cinéma, audiovisuel, n'hésitez pas à me contacter!
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